Stabat Mater Dolorosa.
Publié le 13 Avril 2014
"Celui que je baiserai, c'est Lui, arrêtez-le."
(...)
"Alors tous les disciples l'abandonnèrent et ils s'enfuirent."
(...)
"Alors il se mit à faire des imprécations et à jurer qu'il ne connaissait point cet homme,
et aussitôt le coq chanta."
(...)
"Que ferai-je donc de Jésus, qu'on appelle le Christ?
Ils dirent tous:
Qu'il soit crucifié!"
(...)
"Mon cœur est dans l'attente des humiliations et des souffrances.
Je cherche quelqu'un qui s'attriste avec moi,
mais en vain;
un consolateur, et je n'en trouve pas.
Pour nourriture, ils me donnent du fiel;
et dans ma soif, ils m'abreuvent de vinaigre."
Tout au pied de la croix, ce lieu d'ignominie;
mon fils auprès de toi, debout l'âme meurtrie,
au bord du désespoir à l'extrême agonie,
je viens prendre ma part de souffrance infinie.
Sous le poids du fardeau,
tout mon être chavire,
sous les coups du couteau,
mon ventre se déchire.
Et celui qui gît là, était mon fils unique.
Hier encore dans mes bras il me faisait des mimes.
Il y a maintenant sur le bois de justice,
cloué atrocement et couvert d'immondices.
Quelle mère pourrait soutenir ce supplice,
sans que l'âme se fende,
sans que le cœur se brise?
Son sang est répandu au prix de vos sévices,
et son corps est pendu en rançon de vos vices.
(...)
"...furent saisis d'une grande crainte et dirent:
Cet homme était vraiment le Fils de Dieu."
(Extrait de l'album " Je suis l'Immaculée Conception".
Paroles et musique de Patrice et Roger Martineau.)
(Merci Yveline-Marie)